Vous pouvez écouter ici des chansons, musiques de films et visionner des extraits de concerts.
Courts métrages
Documentaires et téléfilms
Extraits en écoute avec l'aimable autorisation de Bianca Films
Vous pouvez ouvrir le player et écouter les chansons
Prix découverte au Festival de l'Aveyron 2006
Prix du public au Festival Eclats-Dieulefit 2007
"Cécile a dit" Album 12 titres
Musique, piano, chant : Cécile Philippin
Zékira Yassa et Patrice Louison : choeurs
Paroles : Alexandre Barbera, Pascal Lahmani, Cécile Philippin
Prod : Sur le Palier 2006
Le Café Laurent (Paris)
L'Ogresse (Paris)
Le Théâtre G.Philipe (Meaux)
A Thou Bout d'Chant (Lyon)
Le Calepin (Montelimar)
L'Esprit Frappeur (Lausanne)
Le Soleil de la Butte (Paris)
Le Living B'art (Paris)
le Festival de Brioux sur Boutonne
le Festival de l'Aveyron
Hommage aux Frères Jacques à Dieulefit
Le Forum Léo Ferré (Ivry/Seine)
Le Café Universel (Paris)
Le Studio de l'Ermitage (Paris)
"Botoxez moi" Album 10 titres
Musique, piano, chant : Cécile Philippin
Musiciens : Florent Richard, Julien Rosa/mixage : Elise Boisseau
Paroles : Alexandre Barbera, Alexandrine Brisson, Cécile Philippin
Prod : Sur le Palier 2008
« Aérienne, Cécile Phi surgit de la nuit de sa démarche légère et le charme s'opère très vite. Une aura se dégage de cette femme forte à l'apparence fragile. Sa voix chaude chante ce qui la touche, l'avenir, la vie, la mort. Ecrites par elle ou pour elle, les chansons qu'elle interprète avec sensibilité sont pleines de poésie, d'humour et de fantaisie. »
Le Dauphiné Libéré novembre 2008
"Une chanteuse pleine de grâce, de profondeur et de talent féminin. A l'instar de nos grandes chanteuses à texte, Cécile dit le mal d'aimer, la douleur des ruptures, la violence des sentiments... Une voix très sûre avec une tessiture large et forte qui nous emmène du côté du cœur des amoureuses. Cécile Phi a cette rare qualité d'installer un champ magnétique avec son public, elle est là, tout simplement. Elle parle juste. Ni trop, ni trop peu. »
La Tribune (Drôme) nov 2007
En résidence en calepin (Drôme)
Le Café Laurent (Paris)
Le Café Universel (Paris)
Les 7 Lézards (Paris)
L'Ogresse (Paris)
L'Essaion Théâtre (Paris)
Un spectacle musical, féminin et foutraque, avec un piano, des voix, des cravates, des boites de conserves et des suprises
Cécile Philippin : musique, piano, chant, boucles, percussions de cuisine
Zékira Yassa : Chant et percussions
Auteurs : Alexandre Barbera, Alexandrine Brisson, Pascal Lahmani, Cécile Philippin
Merci à Marie Berto et Alexandre Barbera pour le soutien à la mise en scène, à Jean-Philippe Bouyer pour les lumières, à Elise Boisseau pour le son.
Merci à Emilie Foucher pour les costumes !
L'amour avec humour : Le duo Cécile Philippin et Zékira Yassa joue la séduction délurée. Ces deux femmes loufoques portent des vêtements fabriqués avec des cravates et chantent l'amour avec humour.(...) Elles chantent la violence conjugale, « la fantaisie érotico-culinaire » bien inspirée, la peur de
mourir en appelant à la rescousse le lifting et les prothèses. Cette escapade romantique savoureuse mêle des vers d'Apollinaire aux textes mijotés maison. Un spectacle de folie douce contagieuse."
Le Parisien 14 janvier 2011
Le China (Paris)
L'Accoudoir (Montreuil)
Le Café Laurent (Paris)
L'Ogresse (Paris)
Le Théâtre G.Philipe (Meaux)
L'Essaion Théâtre (Paris)
A Thou Bout d'Chant (Lyon)
Un projet poético-musical et une association d'artistes pas tout à fait comme les autres
Inspirée par ma rencontre avec le poète Christophe Bonnaz, puis par la poésie de ma soeur Irène, je vous propose de découvrir pas à pas un travail de création au long cours.
Premiers poèmes : Christophe Bonnaz, Irène Philippin
Premières musiques : Cécile Philippin, Florent Richard, François Frémont
Vous pouvez lire ici les poèmes mis en musique :
A travers les dédales
Les mains offertes
C'est toi
Un poème de Christophe Bonnaz
Ambiance sonore et musique : Florent Richard
Mélodie et choeurs : Cécile Philippin
A travers les dédales où vont nos simagrées
Dans des siestes lunaires où couchent les étoiles
Quand les pierres dressées sont des forêts sacrées
Où traînent nos désirs dans un souffle glacial
Quand après le silence on entend retentir
Des cavalcades aphones et privées de sommeil
Chevauchées fantastiques où roule le plaisir
Plus rien ne brillera autant que le soleil
Et pourtant chaque soir où se brûlent nos corps
Je vois mourir en nous des rêves trop profonds
Des messages nous disent "Il est temps d'être fort"
Tout redevient plus beau d'avoir touché le fond
Tout redevient étrange aux yeux de ma mémoire
J'y vois monter des fleuves où des barques serviles
Distillent avec leurs rames les courants dérisoires
Et je meurs d'un bouquet de cent mille pistils
C'est toi qui m'enchaînas à la douce habitude
De repeindre la vie comme tu la rêvais
J'y perdais quelques armes et ma sollicitude
Te laissait ignorer que tout n'était pas vrai
Pour moi la vérité se couchait dans des brumes
Ne répondant jamais à mes lointains appels
Je demandais du feu tu demandais la lune
Chacun avançait dans sa sphère irréelle.
Un poème de Christophe Bonnaz
Ambiance sonore, mélodie et choeurs : Cécile Philippin
Ce sont ces mains offertes au coeur de la détresse
Quand l’attente se meurt et que s’ouvre la porte
C’est dans un café noir offrir de la tendresse
Cette chaleur humaine qui parle et réconforte
C’est au petit matin l’appel d’un camarade
Qui vous sort d’un enfer où vous n’étiez plus vous
C’est quand le coeur froid une tendre accolade
L’amitié qui ne rate jamais un rendez-vous
C’est pleurer dans son trou en sachant qu’au dessus
On veille à vos chagrins et l’on compte sur vous
Etre utile et précieux rien qu'en étant venu
Ne plus être tout seul à crever comme un fou
C’est partager le rien le temps que le temps laisse
Sous un toit de fortune relancer les dés neufs
Ne pas laisser son coeur tomber dans la paresse
Mais rester jamais comme sorti de l’oeuf
Ramasser celui-là trouvé sur le chemin
Et rebâtir debout le toit de l’amitié
Tâtonner dans le noir et se donner la main
Pour cheminer ensemble et être du voilier
C’est partager le rien le temps que le temps laisse
Sous un toit de fortune relancer les dés neufs
Ne pas laisser son coeur tomber dans la paresse
Mais rester jamais comme sorti de l’oeuf
Un poème d'Irène Philippin
Composition : François Frémont
Arrangements, instruments et choeurs : Cécile Philippin
Ton sourire de lune et tes yeux de satin
Brûlantes sont tes mains sur mon corps incertain
Tes lèvres de coton, tes baisers de lumière
Et ton esprit perçant que dévoile la terre
C'est toi qui tout entier fait chavirer mon coeur
C'est un rêve éveillé c'est ta joue qui m'effleure
Ton désir si pressant tes bras ensorcelés
Ton âme de serpent ton ombre inanimée
Ton coeur de cathédrale où j'aime à me blottir
est un refuge ardent où j'aimerais mourir
C'est toi qui tout entier fait chavirer mon coeur
C'est un rêve éveillé c'est ta joue qui m'effleure
Ton corps est un voyage et tes mains un mystère
Tes pieds comme enchantés se saoulent dans la mer
et tes cheveux d'ébène et ton nez vertueux
me disent des Je t'aime et attisent le feu
C'est toi qui tout entier fait chavirer mon coeur
C'est un rêve éveillé c'est ta joue qui m'effleure